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La Nouvelle-Écosse connaît une pénurie de main-d’œuvre et, par conséquent, a besoin de plus d’ouvriers qualifiés pour s’installer dans la province. Selon Become A Canadian, en raison de la pénurie de main-d’œuvre, la Nouvelle-Écosse a perdu des affaires d’une valeur de plus de 1 milliard de dollars depuis 2022.
Le besoin de plus de travailleurs coûte aux propriétaires d’entreprises des industries de la construction et de la fabrication de nombreuses opportunités en termes de ventes potentielles et de contrats.
Become A Canadian affirme également que les opportunités manquées affectent la capacité des propriétaires d’entreprise à rembourser leur dette ou à développer et soutenir leur communauté.
Il est actuellement nécessaire de trouver un moyen facile de remédier aux pénuries de main-d’œuvre dans ces industries. Néanmoins, les responsables travaillent sans relâche pour sensibiliser aux programmes gouvernementaux existants destinés à attirer davantage de personnes vers les métiers, à inviter des ouvriers spécialisés étrangers au Canada et à informer les lycéens sur les opportunités dans les industries de la construction et de la fabrication.
Des programmes gouvernementaux créés pour attirer plus de travailleurs en Nouvelle-Écosse
Le gouvernement de la Nouvelle-Écosse a introduit plusieurs programmes attractifs pour attirer de jeunes travailleurs qualifiés et étrangers dans la province.
Become A Canadian pourrait confirmer que le gouvernement a récemment introduit un crédit d’impôt pour les personnes de moins de 30 ans désireuses de travailler dans les métiers. De même, le gouvernement a apporté d’autres modifications au processus d’apprentissage, le rendant plus attractif pour les nouveaux travailleurs avec des taux de rétention plus élevés.
Le gouvernement s’est également tourné vers l’immigration comme approche pour attirer des ouvriers spécialisés étrangers. Certains responsables se sont récemment rendus à Londres, en Angleterre, pour assister à un événement spécifique à la construction, où ils ont interagi avec plus de 800 contacts qui souhaitaient travailler au Canada.